BEYROUTH AU COEUR : Presse

"BEYROUTH AU COEUR" dans les médias  : 

"Ce texte vaut surtout par le tableau personnel, aigu, qu'il dresse de la situation libanaise présente avec ses 'nouvelles géographies humaines'"
Jean-Pierre Péroncel-Hugoz, Le Monde, 27 août 1999

 "Ce livre, c'est comme un jardin où serait pratiquée la culture intensive des petites Madeleines de Proust... Sociologue sans pédanterie ni jargon, l'auteur décrit ce qu'il y a de sauvage dans ce Liban d'après-guerre civile". 
 Jean-Marc Stricker, France Inter, 30 septembre 1999 

"Sans complaisance, sans parti pris, l'auteur décortique, analyse, commente tout ce qu'elle voit, ce qu'elle entend ou ce qu'on lui raconte. D'un ton qui se veut objectif, mais qui se charge par moments de complicité, de tendresse, de poésie et d'amour, elle décrit la vie de tous les jours, avec son charme et son lot d'émotions".
Natacha Sikias, L'Orient-Le Jour (Liban), 26 mai 1999

"Retour au pays. La guerre est finie mais le Liban enterre toujours ses morts et son passé. Entre reportage à fleur de peau, voyage et carnet". 
Christophe Ayad, Libération, 6 avril 2000

"The stories of ordinary people and the truths they reveal about the country they live in... By simultaneously offering an insider's understanding and an outsider's critique and sense of wonder, it manages to be objectively subjective ". 
Warren Singh-Bartlett, The Daily Star (Liban), 5 novembre 1999 

 "Nadia Khouri-Dagher évite l'écueil du récit nostalgique pour une approche personnelle en petites touches" 
Agnès Rotivel, La Croix, 30 septembre 1999
 

"Un récit au ras du quotidien, vivant, charnu, d'une pudeur toute féminine, déroulant la trame contrastée d'un Liban qui se révèle si attachant, arabe et cosmopolite, frugal et flambeur, débrouillard et épicurien". 
Slimane Zeghidour, La Vie, 30 septembre 1999

 "A travers un récit sensible qui tient du reportage et du journal intime, elle nous fait partager la renaissance d'une ville qui n'a jamais abdiqué la passion de vivre". 
Géo, septembre 1999

"La journaliste-écrivain nous embarque en balade dans cette capitale libanaise à l'heure de sa reconstruction, avec un œil résolument moderne et critique". 
Charlotte Poupon, Elle, 13 septembre 1999 

"Retour au pays natal pour découvrir la vie quotidienne telle qu'elle est ". 
Marc Sayegh, Al-Hayat (Londres), 6 juin 1999

"La journaliste retourne sur les lieux merveilleux de l'enfance, lieux où presque tout est désormais différent, tout sauf la mer, les saveurs, les bruits et les cris, la senteur des gardénias et l'émotion sans cesse renouvelée". 
Henriette Sarraseca, Radio France Internationale-MFI, 20 juillet 1999

"Un témoignage vibrant sur le Liban d'après-guerre" 
Magazine (Liban), 12 novembre 1999
 

"Loin des circuits touristiques, cet émouvant témoignage balance sans cesse entre nostalgie et espoir ". 
Ulysse, sept-octobre 1999
 

"Le regard très personnel d'une Libanaise de la diaspora... Une vision émue mais sans complaisance ". 
Faim Développement Magazine- mensuel du CCFD, novembre 1999
 

"Nadia Khouri-Dagher aborde la cité libanaise avec amour, espoir et inquiétude". 
Marc-Olivier Parlatano, Le Courrier (Suisse), 4 mars 2000
 

"Un témoignage au quotidien sur le Liban d'après-guerre". 
Maghreb-Machrek, juillet-septembre 1999

 "C'est instructif et touchant". 
Beyrouth-sur-Seine, mai-juin 1999

 "Récit tour à tour émouvant, nostalgique et vivant... A ne pas manquer". 
Josette Tagher-Roche, Enfants du monde - mensuel de l'UNICEF, 3^e trimestre 1999